Jeunes mais pas moins audacieuses pour autant: les deux femmes ont suivi pendant près de deux ans un couple dont la femme est atteinte d’un cancer du cerveau incurable et que son mari accompagne vers l’inéluctable.
La fin de vie, la tâche des aidants naturels, les soins palliatifs sont des sujets qui apparaissent dans l’actualité régulièrement mais rarement les aborde-t-on sans le paravent des théories et des aspects techniques de l’encadrement. Ici, le film nous plonge au coeur de la démarche même.
Les deux cinéastes ont réussi à s’immiscer dans l’intimité du couple sans jamais être impudiques. En fait, et c’est sans doute le secret de l’efficacité de ce long métrage, elles ont été guidées non seulement par le sujet même de l’accompagnement vers la mort mais par l’amour exceptionnel que ces deux personnes ont eu l’une pour l’autre.
Dès le début du film, Louise est déjà confinée au lit et à un fauteuil roulant par la tumeur inopérable logée dans son cerveau. Elle est partiellement paralysée, sa mémoire est fragile et ses pensées sont parfois confuses.
Lisez l’article complet sur le site web de la Presse.
Leave a Reply