Lors de la Semaine nationale des soins palliatifs, la Coalition du Québec pour l’accès au soins palliatifs lance sa campagne « Il est temps d’en parler : Les soins palliatifs, c’est vivre mieux! » comprenant des vidéos mettant en vedettes des patients ayant bénéficié des soins palliatifs.
Les soins palliatifs pour ceux qui vivent – un dossier de La Presse comprenant 3 articles à propos de l’état des soins palliatifs au Québec.
- Une vie meilleure… et inespérée raconte l’expérience des soins palliatifs de Danielle Arbour, survivante du cancer, pour qui les soins palliatifs ont pu lui redonner le goût de la vie.
- Des pionniers en retard met le point sur le retard qu’a pris le Québec dans le domaine des soins palliatifs comparativement à d’autres juridiction. C’est au Québec où l’expression « soins palliatifs » a vue le jour il y a 50 ans quand la belle province était encore cheffe de file dans ce domaine de la médecine.
- Québec « en gros mode rattrapage » discute des efforts au Québec pour atteindre les objectifs fixés dans le plan d’action 2020-2025 visant un accès équitable aus soins palliatifs au Québec.
La Maison de soins palliatifs Sault-Saint-Louis (MSPSSL) à Montréal, devrait ouvrir ses portes dès l’automne 2024 avec une capacité de 8 lits.
L’Université Lakehead à Thunder Bay, Ontario reçoit un financement de 2,38 millions de dollars sur quatre ans dans le but de comprendre les failles dans les soins de santé, d’adapter des solutions aux besoins des populations en difficulter et de faciliter l’accès aux soins palliatifs aux communautés vulnérables, dont les personnes âgées et celles atteintes de maladies mentales.
L’honorable Mark Holland, C.P., député, et l’honorable Ya’ara Saks, C.P., députée, publient une déclaration au nom de Santé Canada en l’honneur de la Semaine nationale des soins palliatifs (du 5 au 11 mai 2024).
Jhon Alexander Moreno, neuropsychologue et professeur associé au Département de psychologie de l’Université de Montréal, souhaite explorer le potentiel de la réalité virtuelle pour atténuer l’anxiété et à la douleur associées à la fin de vie.
L’accès aux soins palliatifs en français laisse à désirer dans le Nord de l’Ontario, et des intervenants du secteur réclament des mesures visant à accroître le personnel bilingue capable d’offrir un accompagnement jugé « très important » par les patients en fin de vie ainsi que leurs familles.
Dans un effort continu pour améliorer l’accès aux soins de fin de vie, le gouvernement du Québec, en collaboration avec le Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM) et l’organisme Aux trois sentiers – Soins palliactifs (A3SSP), annonce le lancement d’un projet pilote révolutionnaire : l’Unité d’intervention sociale rapide (UIR) à domicile.
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