La planification préalable des soins pourrait-elle ressembler un peu plus à l’art?

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L’art public embellit les villes et améliore la culture locale. Mais comment s’y prendre? Des villes comme New York ont institué un règlement

« 1 % pour l’art public » attribuant 1 % des recettes de nouveaux projets de bâtiments à l’art public. 

La planification préalable des soins (PPS) embellit et améliore la qualité du cheminement vers le décès pour les patients et leurs proches. Mais comment s’y prendre? Soyons aussi fabuleux que la ville de New York et instaurons « 1 % à la PPS » — où 1 % des nouveaux dollars en soins de santé appuient un programme exhaustif pour la PPS. 

Plutôt que d’espérer que ces conversations vont tout simplement « se dérouler », nous devrions faire participer d’autres personnes pour agir comme co-champions pour promouvoir la PPS parmi leur zone d’influence. Cela peut comprendre

des médecins de famille, des spécialistes, des infirmières et infirmiers, des travailleurs sociaux en plus d’autres membres de la société — avocats, agents d’assurances, chefs spirituels, etc. —  intéressés par le sujet. L’aspect le plus novateur du programme est la capacité de chaque promoteur à aiguiller toute personne intéressée vers un facilitateur formé en PPS. 

Ce modèle connait un énorme succès dans d’autres endroits et a prouvé ne pas engendrer de coût ou être mieux, tout en permettant aux patients d’obtenir des soins de fin de vie moins dispendieux et plus satisfaisants. 

J’ai un rêve pour la PPS – le processus qui s’y rattache sera conviviale, je dirais même plus irrésistible, et sera accepté par tous, peu importe leur éducation, leur culture, religion ou leur âge. Tirons une leçon de la ville de New York et investissons dans la PPS pour embellir la fin de vie et améliorer la qualité du cheminement vers le décès pour tous les Canadiens.

La Dre Joelle Bradley est une jeune médecin hospitalière au Royal Columbian Hospital. Elle est membre du conseil de la Fraser Northwest Division of Family Practice où elle agit comme médecin principal auprès du Comité directeur pour la planification préalable des soins, et responsable d’améliorer la planification préalable des soins dans la collectivité locale.

Le Collège des médecins de famille du Canada a créé la Tribune pour l’idée la plus audacieuse en se basant sur la séance populaire du même nom et est offerte au Royaume-Uni par la Society of Academic Primary Care. Grâce à la Tribune, les innovateurs ont la chance de discuter de sujets importants à leurs yeux, mais dont on ne parle pas à l’heure actuelle.

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