Pourtant, beaucoup de collègues qui travaillent dans ce domaine trouvent leur métier gratifiant professionnellement et personnellement. C’est le cas de Josie Ryan et James D’Astolfo.
Directrice de In Care Living at Northwood, un établissement de soins prolongés d’Halifax, Mme Ryan, fait valoir le nombre de débouchés professionnels pour ses collègues qui choisissent ce domaine. « Nous avons des infirmières et infirmiers d’hospice et de santé du travail, des IP, des infirmières et infirmiers gestionnaires et chefs de file, des superviseurs d’installations et des éducateurs. On peut débuter comme infirmière soignante, puis passer à autre chose.»
James D’Astolfo, un infirmier autorisé qui travaille en SLD à Toronto depuis qu’il a fini ses études en 2007, pense que beaucoup de débutants évitent ce domaine parce qu’ils ont l’impression que seuls les infirmières et infirmiers qui ont fait un programme de diplôme y travaillent : « Plusieurs voient ça comme des emplois de deuxième zone où on risque de régresser professionnellement », déplore-t-il. M. D’Astolfo insiste sur le fait que ce n’est pas le cas et explique que le personnel infirmier dans ce domaine doit mettre en application toutes ses compétences pour évaluer les patients et pour soutenir les familles et communiquer avec elles, souvent plus que dans les services de soins de courte durée.
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