Il visera à faire en sorte que personne ne puisse invoquer la compétence législative du fédéral en matière de criminalité pour mettre des bâtons dans les roues au gouvernement québécois, qui s’apprête à adopter sa loi.
La démarche se veut non partisane, a indiqué lundi le député bloquiste Jean-François Fortin, en entrevue avec La Presse Canadienne.
Le projet de loi qui a suivi la commission spéciale «mourir dans la dignité» fait l’objet d’un large consensus au Québec, dit le Bloc, qui s’est notamment donné pour mission de le défendre à Ottawa.
Il y a une dizaine de jours, les quatre partis à l’Assemblée nationale ont souligné le retour du projet de loi d’initiative péquiste qui passera rapidement à un vote libre, et qui sera probablement adopté.
Le ministre fédéral de la Justice, Peter MacKay, avait à ce moment réitéré son inconfort face au projet québécois, soulignant «que les dispositions du Code criminel qui interdisent le suicide assisté et l’euthanasie servent à protéger tous les gens, y compris les gens les plus vulnérables de notre société.»
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